Au Ve siècle avant J.-C., la cité d'Athènes s'organise autour d'une grande place (agora). La ville est dominée par une colline : l'éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons, où se trouvent des temples notamment celui consacré à éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons, déesse protectrice de la cité. Chaque année, les habitants d'Athènes participent aux Panathénées, la fête organisée en l'honneur de la déesse.
Athènes est peuplée de 300000 habitants. Les éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons, qui sont une minorité, participent à la vie politique et au gouvernement de la cité. En effet, la citoyenneté est réservée aux éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons libres de plus de 18 ans qui ont effectué un service militaire et civique (éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons). Les femmes, les enfants, les esclaves et les étrangers (métèques) sont donc exclus de la citoyenneté.
Les Athéniens ont inventé un système politique original : la éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons (demos-kratos ou le pouvoir aux citoyens). La démocratie repose sur le principe d'égalité de droits (éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons) comme l'illustrent le tirage au sort ou le temps de parole identique accordé aux différents orateurs (mesuré par la éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons ou horloge à eau). C'est une démocratie directe c'est à dire que les citoyens réunis en éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons (assemblée), gèrent eux-mêmes la cité. Ils votent (éphébieAcropoleAthénacitoyensclepsydredémocratieEcclésiahommesisonomiejetons ou main levée) à la majorité et désignent des magistrats. En contrepartie, les citoyens ont des devoirs comme celui de défendre la cité ou de participer aux fêtes civiques.