Vendredi 7 mars 2008
Mes amis BONSOIR,
Du haut de mes 22 ans, je suis amoureux de Laval depuis presque 10 ans. J’ai fait mes études à Laval, où j’ai appris mon métier de pâtissier. Puis j’ai voulu travailler ailleurs. Alors je suis parti pendant 2 ans pour finalement revenir. Aujourd’hui en reconversion, c’est à Laval que je veux rester. Cet aller-retour m’a fait prendre conscience qu’on y est bien à Laval ! Parce que Laval s’embellit. Parce que Laval accueille des nouveaux habitants, des entreprises. Parce que Laval évolue et il y fait bon vivre !
Cette évolution est incontestablement due à Monsieur d’Aubert. J’ai pu lors de plusieurs rencontres échanger avec lui à propos de Laval. Parce que François d’Aubert est quelqu’un avec lequel on peut facilement discuter. Quelqu’un pour qui votre avis compte !
Et un jour, il m’appelle pour savoir si je voulais faire partie de son équipe pour un 3e mandat. J’ai répondu OUI sans hésiter !
Et aujourd’hui, j’ai l’honneur d’être le benjamin de cette merveilleuse équipe. Et j’en suis fier ! Cette « dream team » n’est pas le fruit du hasard. Elle est tout d’abord très jeune, 45 ans de moyenne d’age.
Elle est aussi très renouvelée : à 65%.
On pourrait penser que cette équipe est peu expérimentée. C’est faux ! Elle est faite de lavalloises et de lavallois qui ont réussi, qui ont fait leurs preuves, qui se sont distingués dans leur domaine. S’ils sont ici ce soir ce sont pour leur performance. François d’Aubert se doit d’avoir autour de lui ce qui se fait de mieux ; pour que Laval bénéficie de ce qui se fait de mieux !
Cessons de politiser les élections municipales, notre liste est constituée à 75% de société civile. Ce qui montre bien que l’enjeu n’est pas politique mais bel et bien d’ « agir ensemble pour Laval ».
En 1995, François d’Aubert prend les rênes d’une ville de Laval très endettée, à la limite de la tutelle de l’Etat. A ce jour Laval est redressée, parce que François d’Aubert et son équipe ont relevé cet énorme défi pour tirer la ville vers le haut. Cette performance aurait pu être suffisante, on aurait pu s’arrêter là, mais non ! François d’Aubert a littéralement dégagé un énorme potentiel à Laval. Pour preuve, 5 listes se disputent aujourd’hui la municipalité, c’est dire à quel point Laval est une ville intéressante.
Pour que cette croissance se perpétue, il faut mettre l’accent sur 5 défis majeurs à relever :
- l’innovation permanente. Parce qu’innover c’est bien, mais de façon permanente, c’est mieux !
- le développement durable. C’est une nécessité mondiale, mais le traitement lui est local.
- l’allongement de la durée de la vie. On vit de plus en plus longtemps, et une municipalité se doit d’accompagner ses habitants tout au long de leur vie.
- l’éducation et la formation. Pour que Laval soit une ville qui donne une chance à tous, en luttant contre l’échec scolaire et en fournissant de l’enseignement de qualité.
- la lutte contre la pauvreté et le renforcement du lien social. Car même si la ville a reçu le Prix de l’Innovation Sociale, la solidarité reste un point important.
Ces 5 points sont notre priorité. Cependant, nous allons aussi continuer les efforts en matière de sports, de culture, de famille, d’emploi, de santé, de tourisme… pour une ville de Laval attractive et rayonnante.
Notre programme a pour objectif de fournir une meilleure qualité de vie POUR TOUS, pour chaque lavallois, du plus jeune âge, aux personnes les plus âgées, aux handicapés, aux chômeurs, aux entreprises etc… en ne négligeant aucun quartier ; afin qu’aucune personne ne soit exclue et que chacun bénéficie de l’égalité des chances.
Notre programme intègre des investissements raisonnés, terre à terre, sur des bases solides, qui sont souvent des priorités et non des fantaisies flottantes.
Alors mobilisons-nous le 9 mars pour que Laval reste sur de bons rails ! Pour que Laval reste entre de bonnes mains !
François FRANGEUL