le vilain petit canard (9)

Exercice à trous

Remplis tous les trous avec les bons mots
   ailes      beau      branches      chaleur      cygne      cygnes      fille      hiver      marécage      misère      misères      mordu      mort      oiseau      parfum      plumes      pommiers      printemps      rencontre      surface      transparente      transporter      triste      tristesse      tueront   
Il serait trop de raconter toute sa et toutes les souffrances qu’il eut à supporter pendant cet rigoureux.

Il était couché dans le entre les joncs, lorsqu’un jour le soleil commença à reprendre son éclat et sa . Les alouettes chantaient. Il faisait un délicieux.

Alors tout à coup le caneton put se confier à ses , qui battaient l’air avec plus de vigueur qu’autrefois, assez fortes pour le au loin. Et bientôt il se trouva dans un grand jardin où les étaient en pleine floraison, où le sureau répandait son et penchait ses longues vertes jusqu’aux fossés. Comme tout était dans cet endroit ! Comme tout respirait le printemps !

Et des profondeurs du bois sortirent trois blancs et magnifiques.

Ils battaient des ailes et nagèrent sur l’eau. Le canet connaissait ces beaux oiseaux : il fut saisi d’une indicible.

« Je veux aller les trouver, ces oiseaux royaux ; ils me , pour avoir osé, moi, si vilain, m’approcher d’eux ; mais cela m’est égal ; mieux vaut être tué par eux que.d’être par les canards, battu par les poules, poussé du pied par la de basse-cour, et que de souffrir les de l’hiver. »

Il s’élança dans l’eau et nagea à la des cygnes. Ceux-ci l’aperçurent et se précipitèrent vers lui les soulevées. « Tuez-moi, » dit le pauvre animal ; et, penchant la tête vers la de l’eau, il attendait la .

Mais que vit-il dans l’eau ? Il vit sa propre image au-dessous de lui : ce n’était plus un mal fait, d’un gris noir, vilain et dégoûtant, il était lui-même un !